Rando Terre et Mer- Pointe Noire- Pen Bé


C'est toujours avec grand plaisir que nous nous retrouvons entre amis sur les chemins de campagne et de bord de mer… et en cette saison, la nature nous enchante tant par ses fleurs, ses chants d'oiseaux que par ses couleurs et ses parfums...
Les ajoncs de la lande

La pose café à la pointe de la plage de la Marche aux bœufs nous offre un paysage remarquable sur la pointe de Merquel, les bateaux dans le traict de Kercabellec et les petites maisons de la bôle de Merquel...

Le retour se fait par un chemin de campagne calme et verdoyant...









👉  La minute historique

D’une superficie de 8,5 hectares pour la bôle de Merquel, et 4 hectares pour Pointe Noire, ces espaces naturels sensibles ont été acquis par le Département de Loire-Atlantique en 1974 et 1979.A la sortie du bourg de Mesquer, en direction de la mer, le port de Kercabellec s’est longtemps illustré par son rôle dans le transport du sel et ce dès l’époque romaine. Au XIXe siècle encore, celui-ci est exporté par voie maritime dans toute l’Europe et les marais salants, intégrés aux marais de Guérande, sont toujours en activité aujourd’hui. 

A la fin des années soixante -avant les mesures de protection, d’aménagement et de mise en valeur instaurées à partir de 1986 par la loi littoral- l’existence de la bôle de Merquel est menacée par un projet immobilier de 650 logements. La forte mobilisation des riverains et des pouvoirs publics permet alors de conserver ce site naturel de grand intérêt écologique. Cet Espace naturel sensible présente un paysage varié entre dune et marais. Ce site remarquable pour sa faune et sa flore, est une Réserve naturelle régionale qui subit maintenant les conséquences du réchauffement climatique : la montée du niveau de la mer, l'érosion des dunes et la réduction de la surface des plages. On compte près de 300 espèces végétales dont un tiers est spécifique aux milieux littoraux. Treize sont vulnérables et protégées, soixante-huit sont peu communes ou très rares. La richesse du site réside aussi dans sa faune. Sur les îlots, au moment de la nidification, on observe la sterne Pierregarin, l'avocette élégante et occasionnellement, la rare sterne arctique. Sur la microfalaise, l'hirondelle de rivages se distingue par les terriers qu'elle creuse dans le sable pour y nicher. Pour les oiseaux, ce milieu offre un espace de refuge, de nidification et un lieu d'alimentation idéal.




Reprise des randonnées avril/mai/ juin 2021

Finies les vacances ! Les randonnées vont pouvoir reprendre dans le respect des règles actuelles: groupes de 6 et respect de la distanciation et des gestes barrières .

Les prochaines randonnées seront les suivantes dans la mesure du possible. Un pique nique pourra être déterminé en fonction de la météo.

Jeudi 29 avril: Entre sel et terre- Kergéraud

Jeudi 6 mai: Le château de Ranrouët- Herbignac 

Jeudi 13 mai: La chaussée neuve- Kerhinet

Jeudi 20 mai: La vieille roche- Camoël

jeudi 27 mai: La pierre fendue- Saint Lyphard 

Jeudi 3 juin: Le chemin des gascieux- St André des eaux

jeudi 10 juin: La pointe du Castelli- Piriac

jeudi 17 juin: Balade des marais- Kercabellec

jeudi 24 juin:  Rando à déterminer

A bientôt !





Le pont romain de Gras

 Belle rando ensoleillée pour cette matinée. 

Mais il n'y a pas que nous qui profitons de l'air frais…

Heureusement le temps est bien sec pour cette randonnée qui peut s'avérer impossible en hiver.

Notre spécialiste du débroussaillage, après avoir œuvré dans la partie la plus touffue de la forêt avec son sécateur, s'est improvisé coiffeur au moment de la pause!

Enfin nous arrivons devant devant le chemin de pierres du pont de Gras qui en fait est plutôt un gué. Mais les pierres sont énormes et le passage comporte plusieurs petites arches …

👉 La minute historique


Le pont de Gras est situé à la limite entre les communes de Guérande et Saint-Lyphard. Situé sur le chemin reliant les villages de Kerbourg et Gras (qui lui donne son nom), il permet de franchir le petit cours d'eau, le Mès juste avant les marais de Pompas
Il s'agit plus d'un gué que d'un pont : il est formé d'un alignement de grosses pierres plates posées à même le sol sur quelques dizaines de mètres, en travers du lit du cours d'eau, au milieu des roseaux. Au centre, la pierre principale est surélevée afin de permettre au Mès de s'écouler par-dessous. L'ensemble provoque une sorte de petit barrage. En hiver, il arrive que le gué soit submergé en plusieurs endroits. Le pont daterait de l'époque gallo-romaine, vers le 1er siècle. Suite à l'affaissement de la dalle centrale, le pont est restauré en 2014. (source Wikipédia)






      

Le tour du Haut Pénestin

 

C'est enfin le printemps ! Et c'est le cœur joyeux que nous retrouvons les paysages magnifiques de la côte à Pénestin.




Notre amie Janine n'est pas là … mais ce n'est que partie remise ! Le soleil est au rendez vous et les pervenches aussi.



Petite pause vers la pointe du Halguen.




Puis nous arrivons à l'estuaire de la Vilaine. Nous nous installons près de la plage de Camaret pour le pique nique.


  


👉   La minute savante

Si vous voulez en savoir plus sur ce fleuve appelée la Vilaine cliquez sur ce lien:




Le tour du Croisic

 Première rando pique nique sous un soleil radieux... le tour du Croisic avec ses points de vue toujours aussi beaux !

Départ du Mont Lenigo, «La montagne», ainsi nommée par les enfants du pays, est formée des couches successives de lest (pierres, terre, sable) des navires marchands qui repartaient chargés du sel de Guérande vers les pays scandinaves et méditerranéens. Au début du siècle, la colline était recouverte d'une végétation luxuriante. Victime du temps et de l'usure, elle a subi une dégradation progressive, qui nécessitait une réhabilitation.




Mont Esprit: Créée à l’emplacement d’anciennes zones marécageuses, cette butte artificielle, constituée par le lest des bateaux de commerce et qui culmine à 26 mètres de haut, fut aménagée en jardin public à l’initiative du docteur Yves Chellet, activement aidé par le maire de l’époque, M. Gallerand.

Le parc Penn Avel



Ce lieu de promenade de 9 hectares est une ancienne propriété de villégiature créée de toute pièce à la fin du XIXe siècle par la famille Levesque-Panneton qui venait y passer chaque été. Le parc a été peu à peu planté de chênes verts et d’espèces méditerranéennes qui font sa particularité. Racheté par le Conservatoire du Littoral à la fin des années 1970, le parc est ouvert au public toute l’année. Il est géré et entretenu par la Ville du Croisic.
Les anciennes villas ont été rénovées ces dernières années et accueillent en particulier un laboratoire de recherche de l’Ecole Centrale de Nantes sur la production d’électricité par la force des vagues (houlométrie). On peut découvrir, dans la partie communale du parc, le dernier moulin du Croisic, le moulin de la Providence.


Le rocher de l'ours

 Devant la vigie de la Romaine



Le parcours est jalonné des tableaux de peintres qui se sont émerveillés des paysages côtiers.

Enfin l'heure du pique nique à la plage de Castouillet.

👉  La minute savante 

                             Pour en savoir plus, cliquez sur ce lien: 

                                 A la découverte du Croisic





Le circuit des 2 ponts à La Roche Bernard

Encore un temps clément pour cette randonnée pittoresque et un peu plus musclée que d'habitude !Première rencontre, le moulin de Bourigan à encorbellement.



On arrive ensuite au pont du Morbihan. La vue sur la Vilaine est magnifique. Une passerelle sous le pont nous permet de franchir le fleuve… 124 marches à monter, 138 à redescendre… Mais l'effort est récompensé par la beauté du paysage !


Une petite pause bien méritée car les efforts ne sont pas terminés avant d'arriver au deuxième pont et d'admirer les ruines du pont le plus ancien !



La rando se termine par une balade dans les ruelles du charmant village de La Roche Bernard après la traversée du joli parc du chemin du Patis.







👉La minute écologique


Asphodèle

Genets










Bonne idée ces perchoirs à oiseaux !









La forêt d'Escoublac

Randonnée sous le signe du vent et du soleil ! Petite rando qui nous entraine à la découverte de La Baule Escoublac et de sa forêt...

Le château de Tréméac
Le château de Tréméac






La forêt d'Escoublac- Bois d'amour
Sous le sable de la dune de la forêt d'Escoublac sont ensevelis les anciens bourgs d'Escoublac, successivement dévastés par un raz-de-marée en 1450, puis par le séisme et la très violente tempête du 4 mars 17515. Une croix dans la forêt marque l'emplacement du bourg en 1751.

La forêt d'Escoublac est une pinède de 47 hectares qui couvre une dune située au nord de la baie du Pouliguen, dont le point culminant atteint une altitude de 52 mètres, ce qui en fait la deuxième dune côtière la plus haute de France, après la dune du Pilat en Gironde.


L'église Saint Pierre- Elle fut construite pour remplacer la vieille chapelle des Bénédictins qui servait d'église paroissiale depuis les années 1750 jusqu'à son ensablement total en 1785. L'ensemble architectural est remarquable avec sa tourelle de style médiéval. Il s'y trouve de nombreux vestiges du passé tels que l'autel (en bois sculpté) et les fonts baptismaux, la statue de Saint-Anne et les deux médaillons des vitraux du fond de l'église, sauvés de l'ancienne chapelle (restaurée en 1901)






👉  La minute historique

Il semble que le village originel ait été établi en bordure de mer, mais il est déjà déplacé plus au nord, au XVIe siècle, à proximité d'une chapelle placée sous la responsabilité des bénédictins de Saint-Florent-le-Vieil depuis 1073; c’est la première marque du péril d’ensablement qui soit attestée.

Sous le sable de la dune de la forêt d'Escoublac sont ensevelis les anciens bourgs d'Escoublac, successivement dévastés par un raz-de-marée en 1450, puis par le séisme et la très violente tempête du 4 mars 17515. Une croix dans la forêt marque l'emplacement du bourg en 1751.

En 1781, l’usage de l’église paroissiale, à demi-engloutie par le sable fin, «la cendre de mer » soulevée par le vent marin, est interdit par l’évêque de Nantes. Jusque-là, « les fidèles descendaient par une fenêtre dans la nef pour y entendre les offices ». Les maisons du village souffrant du même problème d’ensablement, le village se transporte une nouvelle fois plus au nord, à l’endroit où il est actuellement implanté.

Un décret de 1810 autorise les préfets à prendre des mesures de fixation de dunes. Plusieurs initiatives de plantations sont tentées à partir de 1820, toutes infructueuses étant donné la surface à aménager, 647 ha, la violence des vents et l’instabilité des terrains.

Il faut attendre 1860 pour que les efforts de deux investisseurs, MM. Berthoud et Benoît, soient enfin couronnés de succès. Diverses essences ont été nécessaires pour fixer les sables : Pin maritime, Aulne, Peuplier, puis Hêtre commun, Chêne vert, Houx, If et Robinier faux-acacia.

Source Wikipédia




La dune de la Baule